Foot – Au cœur du football algérien, le débat sur l’état du terrain du Stade Nelson Mandela refait surface. L’équipe nationale, sous la houlette de Djamel Belmadi, fait face à des défis récurrents liés à la qualité du gazon, malgré les récents aménagements. Cet article explore les implications et les solutions envisageables pour surmonter ce problème persistant.
En Algérie, le football est bien plus qu’un simple sport; c’est une passion qui unit le pays. Cependant, cette passion s’est récemment retrouvée devant un problème récurrent : la qualité du terrain du Stade Nelson Mandela. L’équipe nationale algérienne, dirigée par l’entraîneur Djamel Belmadi, se confronte à ce défi depuis quelques temps déjà, surtout lors de ses rassemblements.
Lors des trois derniers rassemblements, y compris celui en cours, le problème de la pelouse a été un sujet de préoccupation majeur. Malgré l’inauguration de nouveaux stades aux normes internationales, la qualité du terrain au Stade Nelson Mandela laisse à désirer. Cette situation s’est révélée lors du match contre le Niger en mars, où l’équipe nationale a dû jouer dans des conditions loin d’être optimales.
Le problème ne se limite pas seulement à la qualité du gazon mais aussi à sa gestion. Auparavant, la société Natural Grass prenanit en charge de l’entretien du terrain. Ses services étaient remarquables, mais depuis sa cessation d’activité en mai dernier, la situation s’est détériorée. Les tentatives des jardiniers de l’OCO (Office du Complexe Olympique) pour maintenir le terrain en bon état, bien que louables, se sont révélées insuffisantes.
Djamel Belmadi exprime sa frustration face à cette situation, soulignant que l’équipe nationale ne bénéficie pas de l’exclusivité du stade, contrairement à ce qui était prévu. Cette situation complique la tâche de l’équipe, qui peine à trouver ses repères dans cette enceinte. Lors de leur unique match dans ce stade contre le Niger, l’équipe a connu une victoire difficile, illustrant les défis supplémentaires posés par l’état du terrain.
Face à ce défi, la Fédération Algérienne de Football (FAF) est appelée à agir. Selon les informations disponibles, un plan d’action serait en cours d’élaboration pour améliorer la situation. Il est crucial pour l’équipe nationale d’avoir une surface de jeu qui corresponde à ses attentes et à son statut.
L’état de la pelouse du Stade Nelson Mandela reste un point d’interrogation majeur pour l’équipe nationale algérienne. Alors que le football continue de rassembler les Algériens, il est impératif que les infrastructures suivent et soutiennent le niveau et les aspirations de l’équipe. La résolution de ce problème de gazon est donc plus qu’une nécessité; c’est un impératif pour l’avenir du football algérien.
